Mes peintures avec les échanges entre membre d'un forum d'aquarelle.
8 Juillet 2020
Trois portraits de peintres, nés après 1873, de 9 cm de haut, sur papier Canson, grain fin, 24 x 32 cm, 300 g/m², crayon HB, aquarelle et brou de noix.
- Un peintre :
A 15 ans, il abandonnera ses études et se consacrera à la peinture. 🎨
Cinq ans plus tard, il fréquentera l'atelier de Gustave Moreau à l'École des beaux-arts de Paris, où il se liera d'amitié avec Matisse et Rouault.
A 25 ans, il se mariera avec son unique modèle 🤵👰, avec qui il aura trois enfants.
Super, Mimima est la 1ère ! 
Ses débuts seront marqués par la découverte de l'impressionnisme, des Nabis, puis de Cézanne.
Il exposera dans une galerie et au Salon de la Société nationale des beaux-arts.
En 1902, il participera pour la première fois au Salon des indépendants.
Il deviendra sociétaire du Salon d’Automne auquel il restera fidèle toute sa vie de peintre.
Deux ans plus tard, il découvrira Saint-Tropez et séjournera chez Paul Signac.
Ce soir, Fonjami, Krin et Zelda sont arrivés !
X faisait partie du mouvement Fauve, l’exaltation des couleurs correspondait à son propre tempérament. Plein de joie de vivre, séduit par la lumière 🌞 et enthousiasmé par les paysages, il y achètera une maison 🏡 en 1920.
Azadi l'a découvert !
Il exposera au Salon d'automne, aux États-Unis et à la Biennale de Venise. A 32 ans, lors d'une exposition, il se liera avec un peintre pointilliste.
Ensuite, il travaillera à Paris, dans une Académie où il retrouvera notamment un peintre paysagiste. Il était en quête de paysages, qu’il traitait essentiellement à l’aquarelle.
Il voyagera en France (Provence, Bretagne, Pays de Loire, etc.) et, plus rarement, à l’étranger (Suisse, Italie).
Puis, jusqu'en 1914, il s'installera à Neuilly-sur-Seine.
Il participera à une exposition en Russie, rencontrera des collectionneurs suisses à Honfleur et exposera à Berlin. En été, il s'installait à Sanary-sur-Mer.
Pendant la Première Guerre mondiale, il habitera à Lausanne.
En 1924, il participera au projet d'un futur musée, à Saint-Tropez, mais 14 ans plus tard, la galerie fermera et son fils rachètera les invendus. Il en détruira huit, puis exposera dans le monde entier.
Ce soir, Mimima, Fonjami, Krin, Zelda et Azadi attendent les derniers chercheurs. Merci à eux ! 
Résultats demain après-midi.
Fuyant la guerre, X ouvrira un atelier en Avignon, en 1940, et il y reviendra régulièrement. Puis, il quittera définitivement Paris pour sa maison de Saint-Tropez.
Il mourra en 1949 dans sa maison de Gassin. L'année suivante, un Salon organisera une rétrospective de ses œuvres.
Il a peint beaucoup de figures féminines, le sud étant son sujet de prédilection.
Son œuvre était caractérisé par le désir profond de faire partager ses émotions, s’attachant essentiellement aux couleurs pour le bonheur que l’on éprouve à les voir.
Mimima, Fonjami, Krin, Zelda et Azadi ont trouvé Henri Manguin (1874-1949) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Manguin
Guillaume Apollinaire le désignera comme "le peintre voluptueux", qui rendait hommage au bonheur de vivre et restait fidèle à l'expression d'une sensualité heureuse.
Photos :
Ses aquarelles et dessins :
Ses Autoportraits :
Ses personnages :
Ses paysages :
Ses natures mortes :
Il sera représenté :
Timbre :
Affiches :
Livres :
Mady :
- Une artiste peintre étrangère :
Un grand bravo à Azadi !
Un drame surviendra lorsque X avait 10 ans. Elle jouait avec deux cousines dans une carrière, quand un éboulement surviendra et l'une d'elles, âgée de onze ans, trouvera la mort.
Dans une lettre, elle révélera plus tard, combien cette expérience l’avait traumatisée.
Zelda propose Romaine Brooks 
, un peu plus âgée, qui était américaine alors que X était européenne.
A 12 ans, X déménagera avec sa famille dans une ville où sa mère se fera des amies dans un cercle d'artistes. Elle y passera une partie de son enfance et adolescence.
A 16 ans, elle fera un séjour linguistique en Angleterre.
Accueillie par une tante, elle devra tenir son ménage et suivra des cours d'anglais et de dessin. ✏ Mais le mal du pays et la discipline autoritaire de sa tante la pousseront à rentrer chez elle.
Elle suivra des cours pour devenir institutrice et des cours artistiques. Elle sera alors éblouie par la peinture de son futur mari.
De cette époque datent une série de portraits familiaux et son premier autoportrait. Elle obtiendra son diplôme d’institutrice avec de bons résultats.
A 20 ans, elle ira à Berlin pour suivre des cours de dessin et peinture avec une artiste peintre qui aura une grande influence sur elle.
Dans les musées, elle aimait les toiles de la Renaissance allemande et italienne.
Lors d'une fête familiale, elle se rendra dans un petit village qui l'impressionnera par la diversité des paysages et surtout la colonie artistique qui y vivait, surtout des peintres impressionnistes, novateurs et anti-académiques, qui souhaitaient un retour à la nature.
Mimima propose Mary Cassatt , plus âgée et que j'ai croqué l'an dernier :
X retournera dans ce village pour y suivre des cours de peinture et de dessin. Elle avait déjà l’intention de devenir une artiste professionnelle.
Elle deviendra amie avec Clara, une jeune étudiante.
Au début, les cours seront une grande aide pour épanouir son talent, mais elle se lassera vite. Son style, qui tendait à la simplification des formes et des couleurs, ne plaisait pas.
Ce soir, Azadi se sent un peu seule, Zelda et Mimima n'étant pas parvenues à la rejoindre ! 
Romaine Brooks et Mary Cassatt, toutes deux plus âgées que X, ont vécues beaucoup plus longtemps. X est décédée à 31 ans.
Les critiques reçues achèveront de la convaincre de rejoindre son amie Clara à Paris, une ville qui brillait par son innovation artistique. Elle aura une fascination profonde pour Cézanne, alors inconnu.
Elle rencontrera Rodin et admirera ses nombreux dessins et croquis. Elle y retrouvera aussi son futur mari, alors marié à une femme souffrante. La mort de celle-ci précipitera leur retour en Allemagne.
Les deux amies n’avaient plus les moyens de rester à Paris et elles avaient besoin de se reposer.
Elle se mariera en 1901 👰🤵, et la même année, Rilke épousera Clara.
Malgré un sujet difficile, Zelda est tombée juste, bravo !
Le mari de X avait déjà une petite fille, dont elle s’occupera comme sa propre fille. Elle était aidée dans les tâches quotidiennes par une domestique.
Une grande partie de son temps était consacré à la peinture. Elle disposait pour tout atelier d'une petite cellule située dans une cour.
Merci à Azadi et Zelda ! J'espère que Mimima ne s'est pas découragée et que d'autres vont suivre. Réponse demain matin.
Sa belle-fille lui servira de modèle pour les portraits d'enfant.
Son mari était très heureux durant les premières années, persuadé de partager l'existence d'une artiste. C'était un homme aimant, mais il manquait d'une compréhension profonde de l'œuvre de son épouse.
Le mariage lui avait évité de devoir travailler pour subvenir à ses besoins. Elle n’aurait jamais pu vivre de son art, n’ayant vendu que trois œuvres.
Elle ne voulait pas exposer dans des galeries, contrairement à son mari, considéré à l’époque comme un grand peintre. Elle était entièrement concentrée sur sa peinture et leur relation deviendra chaotique.
Elle voulait vivre à Paris et elle y fera de fréquents séjours, ce que son mari ne comprenait pas. Profondément allemand, il prenait très mal son besoin incessant de voyager.
Elle éprouvait le besoin d’être seule pour s’épanouir dans son art. Mais, il la rejoindra alors qu'elle hésitait à divorcer et il rentreront chez eux quand elle sera enceinte.
Ce soir, Marithé est arrivée !
Dernières infos : Elle accouchera difficilement d'une petite fille, mais quelques jours plus tard, épuisée, elle mourra d’une embolie pulmonaire à l’âge de 31 ans.
Son musée, inauguré en 1927, à Brême, regroupe une collection d’environ 130 œuvres. En 1978, sa fille a créé une Fondation. L’année 2016, lors d'une exposition au Palais de Tokyo, son œuvre sera découverte. Marie Darrieussecq écrira sa biographie et un film biographique allemand sera réalisé.
Bravo aux trois courageuses, Azadi, Zelda, Marithé, qui l'ont découvertes ; dommage que Mimima ait jeté l'éponge !
Paula Modersohn-Becker (1876-1907) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paula_Modersohn-Becker
"Je sais que je ne vivrai pas très longtemps. Mais est-ce si triste ? Une fête est-elle meilleure parce qu’elle est plus longue ? Ma vie est une fête, une fête courte et intense. Mes sens s’affinent, comme si, dans les quelques années qui me restent, il me fallait tout, tout assimiler. Et j’aspire tout, j’absorbe tout."
"Et si l’amour me fleurit encore un peu avant de s’envoler, et me fait réaliser trois bonnes peintures dans ma vie, je partirai volontiers, des fleurs aux mains et aux cheveux."
"Il est bon de se libérer des situations qui nous prennent l’air !"
"En moi brûle le désir de devenir grande dans la simplicité."
"L'expérience m'a enseigné que le mariage ne rend pas plus heureuse. Il ôte l'illusion, autrefois omniprésente dans tout l'espace, qu'il existe une âme sœur. Le sentiment d'incompréhension est doublé, car toute la vie antérieure au mariage avait consisté à trouver un espace de compréhension."
Notes de son mari : "Elle tombe désormais dans le travers de tout rendre grossier, hideux, bizarre, lourd. Les couleurs sont fameuses, mais la forme ? Mais l'expression ! Des mains comme des cuillères, des nez comme des massues, des bouches comme des plaies ouvertes, des expressions de crétins... Deux têtes, quatre mains sur une surface minuscule, rien de plus pour des enfants. Et il est difficile de vouloir la conseiller, comme souvent."
"Peindre des nus en grandeur nature, elle ne le peut pas, pas plus même que des têtes... Ses plus belles études, elle les laisse tomber. Faire des dessins et apprendre la technique lui suffisent. Elle adore la couleur, mais avec une rudesse contraire à la peinture, en particulier pour les personnages. Elle vénère l'art primitif, et c'est bien dommage, elle devrait surtout penser à la peinture. Elle veut unir la forme et la couleur sans trop savoir comment."
Rainer Maria Rilke dira d'elle : "La peinture la plus digne d’intérêt était celle de l’épouse de Modersohn, qui a développé un art à la fois très personnel et très worpswédien, direct et sans ambages, représentant les choses comme personne d’autre ne pourrait les voir et les peindre. Et cet itinéraire personnel l’amène à des similitudes singulières avec Van Gogh."
Un ami Heinrich Vogeler l'a décrite ainsi : "Paula Becker se peignait fréquemment elle-même. A l’exception des toiles les plus précoces et les plus simples, ces autoportraits sont ceux d’une femme prenant peu à peu pleine conscience de son art. La lèvre supérieure perd de sa douceur, et le regard clair et observateur des yeux est souligné avec énergie."
Photos de famille :
Photos du village des artistes, Worpswede :
Sa tombe :
Son musée à Brême :
Ses dessins :
Ses autoportraits :
Ses portraits :
Ses paysages :
Ses natures mortes :
Elle sera représentée :
Buste :
Timbres :
Film et affiches :
Livres :
Motick : Son mari n'était pas tendre ! 
Fonjami : Pour moi, ce fut une énigme tout le long de mes recherches... Je suis parti de, née vers 1875, décédée à 31 ans, et les pistes Rodin, Cézanne, etc etc... et les femmes peintres de cette époque... Nib de Nib. J'ai tourné beaucoup de pages, j'ai lu en diagonale bons nombres de biographies, visité des cimetières et suis allé dans mon fauteuil pour méditer sur cet échec. Ah, tu peux rire, Annie !
Motick, on peut lui trouver des excuses ! 
Elle n’aura vendu que trois œuvres, refusant d'exposer dans des galeries, contrairement à son mari, considéré alors comme un grand peintre. Elle était entièrement concentrée sur sa peinture et leur relation deviendra chaotique quand elle fera de fréquents séjours à Paris, ce que son mari ne comprenait pas. Il prenait très mal son besoin incessant de voyager.
Fonjami, moi qui croyais que vous étiez tous partis en vacances ! 
Tu as du mérite, elle n'était pas simple à trouver ! Il faudra demander à Azadi comment elle a pu la nommer juste une heure après que j'aie posté son croquis.
Azadi : Et surtout sans indice. J'ai un peu bataillé, modifié les mots clefs et je suis tombée dessus. J'ai été moi même surprise et je me suis épatée, tout comme Annie, pour une fois.
Oui, Azadi, tu m'as épatée ! Le suivant sera facile...
Mady :
- Un peintre, mais pas seulement :
Azadi : Indice de mon mari : a une bonne tête de bourgeois, famille aisée...
Azadi, ton indice était maigre, mais c'est lui !
Mimima propose Max Jacob , né la même année, mais qui avait plusieurs cordes à son arc. Je l'ai déjà croqué comme écrivain.
Ses parents, musiciens, avaient émigré en France. Sa sœur cadette, d'abord star de cinéma, deviendra aveugle.
Il passera son enfance en région parisienne, où à 17 ans, il réalisera ses premières œuvres.
Il gagnera initialement sa vie en tant que violoniste 🎻 et, parfois, en remportant des courses cyclistes 🚴♂️. Sportif aguerri, il pratiquait le cyclisme et l’aviron, en quasi professionnel. Il aimait donner une image frustre de lui même, alors qu’il était en fait assez cultivé.
A 20 ans, il se mariera 🤵👰 et ils auront trois filles 👧👱♀️👩.
Il était autodidacte et refusait de se former en copiant dans les musées pour de ne pas perdre son inspiration. Quatre ans plus tard, il rencontrera un jeune peintre qui restera son ami pour la vie.
Ce soir, Mimima et Zelda sont arrivées à bon port !
X et son ami peintre loueront ensemble un studio, mais son ami le quittera, un an plus tard, en conservant une relation épistolaire avec lui. Ils se retrouveront vers 1904. Il traversait alors une période difficile financièrement, chargé de famille et obligé de gratter d'anciennes peintures pour en récupérer les toiles.
Il publiera deux romans à l'esthétique décadente. Sa vraie passion restera liée à l'art primitif et au fauvisme.
En 1905, il décidera de rester en région parisienne, autant par goût que par manque de moyens. Il participera au Salon des indépendants et fera scandale, comme les autres peintres fauves, Matisse, Derain et Dufy.
Un marchand de tableaux lui consacrera une exposition et il nouera des liens avec un autre négociant en art.
Il commencera aussi une activité de céramiste et fera plusieurs expositions internationales durant ces années.
Durant la Première Guerre mondiale, il ne sera pas envoyé au front, car il avait alors trois filles. Il sera affecté dans une usine de la région parisienne.
Il divorcera, se remariera 👰🤵 et aura deux autres filles. 👱♀️👧
A partir de 1925, il s'installera en Eure-et-Loir, jusqu'à son décès.
A 63 ans, il présidera au banquet des Vitalistes qui défendaient les pamphlets antisémites de Céline. Au cours de ce banquet sera brûlé un portrait d’Hitler qui avait affirmé que tous les artistes français étaient des dégénérés.
Azadi, Mimima, Zelda sont déjà là, elles peuvent aller fêter le 14 juillet !
D'autres, en vacances, n'ont pas attendu mon autorisation. 
Mais ceux qui cherchent encore ont jusqu'à demain matin, résultats l'après-midi.
En 1942, provocateur, X publiera un article où il accusera Picasso d'avoir conduit la peinture française "dans une mortelle impasse".
Ce soir, Krin est de retour et l'a reconnu !
En 1942, X reprendra ses attaques dans un second article, puis dans un livre, où il dira tout le mal qu'il pensait de Degas, Picasso et Matisse !
Dernières infos : A la libération, le Comité National des Écrivains le condamnera à l'interdiction de publication.
Après la guerre, il vivra retiré chez lui et il y mourra en 1958. Il sera inhumé dans le cimetière de Rueil-la-Gadelière, sa commune en Eure-et-Loir.
Marithé a rejoint Azadi, Mimima et Zelda, bravo ! J'espère que Fonjami est sur le bon chemin !
Maurice De Vlaminck (1876-1958) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_de_Vlaminck
"Je n'ai jamais rien demandé, la vie m'a tout donné. J'ai fait ce que j'ai pu, j'ai peint ce que j'ai vu."
"Toute définition générale et toute assemblée qui décide m’écœurent. La beauté, je vois ça comme une espèce de précipice. Lorsque l’on décide qu’il faut être plusieurs pour le franchir, ça ne va pas."
"Je regarde toujours tout avec les yeux d'un enfant. Je me sens enthousiaste pour les choses aujourd'hui pour les mêmes raisons que j'en étais enthousiaste quand j'étais enfant."
"La guerre m'a donné une certitude de croyance. J'ai pris conscience de la faillite des théories, des théories des intellectuels comme des artistes. L'art pour l'art et d'autres problèmes graves ne me faisaient plus mal à la tête... ils m'intéressaient aussi peu que l'amour platonique."
"Et puis, j'ai été tenté de commencer la peinture... J'ai composé instinctivement et maladroitement. J'ai appliqué des couleurs avec une seule idée qui justifiait tout : exprimer ce que je ressentais. J'ai peint avec hésitation et exclusivement pour moi et pour personne d'autre. Il me semblait que l'eau, le ciel, les nuages et les arbres comprenaient le bonheur qu'ils m'apportaient."
"J'ai peint pour restaurer ma tranquillité d'esprit, pour calmer mes envies et, surtout, me purifier un peu... Faire carrière dans la peinture. Comme j'aurais ri, si quelqu'un m'en avait parlé ! Être peintre n'est pas un métier, pas plus qu'être anarchiste, artiste, amoureux, coureur, un pilote de course, rêveur ou combattant. C'est un cadeau de la nature, un cadeau."
Il accusera Picasso de "figure de moine à tête d'Inquisiteur" à "l'apparence d'un monstre" d'avoir conduit de 1900 à 1930 la peinture française "dans une mortelle impasse, dans une indescriptible confusion."
Pour Laurence Bertrand-Dorléac : "Si le dessein de Vlaminck avait été d'en finir à tout jamais avec le démiurge (Picasso), il ratait son coup, savourant en échange des joies malsaines de la dénonciation et de la culpabilité. Car s'il s'agissait de régler ses vieux comptes avec le chef d'une famille des modernes, dont il avait été lui-même l'enfant prodige avant de la répudier, là comme ailleurs, chacun, de près ou de loin, avait appartenu au corps souillé en voie d'assainissement."
Photos :
Autoportraits :
Portraits :
Paysages :
Peintures cubistes :
Gravures et lithographies :
Il sera représenté :
Bustes :
Timbres :
Affiches :
Livres :
Mady :
